Des cahiers roussis comme des feuilles d’automne, des cahiers sans date, des carnets rouges, bleus, noirs, des carnets marbrés, couverts de cartes postales à moitié décollées, et remplis de mots, d’histoires, de phrases recopiées, séchées comme des fleurs japonaises qui attendent leurs heures pour se déplier. Geneviève Brisac « Dans les yeux des autres »