Parfois il prenait un volume au hasard, ne le lisait pas, mais l’entrouvrait et le respirait, comme on hume le bouquet d’un vin, le remettait à sa place exacte, en cherchait un autre. Irène Némirovsky « Deux »
Parfois il prenait un volume au hasard, ne le lisait pas, mais l’entrouvrait et le respirait, comme on hume le bouquet d’un vin, le remettait à sa place exacte, en cherchait un autre. Irène Némirovsky « Deux »