La masse de livres qu’il lut ne lui servit qu’à stimuler son impatience. Chaque page de chaque volume n’ entrebâillait qu’une fenêtre minuscule du paradis intellectuel, et son appétit, aiguisé par la lecture augmentait à mesure. Jack London « Martin Eden »
(Photo: Librairie Candide, Place Brugmann, Bruxelles)