On lit pour les mêmes raisons que celles pour lesquelles on écrit, pour abolir les frontières. Eric-Emmanuel Schmitt dans le «Bruxelles des arts» (France 24)
(Photo: Librairie Van der Elst, Galerie Bortier, 1000 Bruxelles)
On lit pour les mêmes raisons que celles pour lesquelles on écrit, pour abolir les frontières. Eric-Emmanuel Schmitt dans le «Bruxelles des arts» (France 24)
(Photo: Librairie Van der Elst, Galerie Bortier, 1000 Bruxelles)