On peut juger de la bonté d’un livre, à la vigueur des coups de poing qu’il vous a donnés et à la longueur de temps qu’on est ensuite à en revenir. Gustave Flaubert « Correspondance – Lettre à Louise Colet du 15 juillet 1853 (Lettre 225 – [Croisset] vendredi soir, 1 heure » (La Part Commune, tome III, p.159)
(Photo: Librairie Tropismes, Galeries Royales Saint-Hubert, Galerie des Princes, 11, 1000 Bruxelles)