J’étais littéralement englouti par le fleuve puissant des centaines de pages. C’était pour moi le livre rêvé: une fois que vous l’aviez fini, ni votre sacrée vie ni votre sacré monde n’étaient plus les mêmes qu’avant. Dai Sijie «Balzac et la petite tailleuse chinoise»
(Photo: Bouquinerie, Bruxelles)