Il y a toujours dans un livre, même mauvais, une phrase qui bondit au visage du lecteur comme si elle n’attendait que lui. Christian Bobin « Les ruines du ciel » Gallimard, p.47 (2009)
(Photo: Librairie Vander Elst, Galerie Bortier, 1000 Bruxelles)
Il y a toujours dans un livre, même mauvais, une phrase qui bondit au visage du lecteur comme si elle n’attendait que lui. Christian Bobin « Les ruines du ciel » Gallimard, p.47 (2009)
(Photo: Librairie Vander Elst, Galerie Bortier, 1000 Bruxelles)