La lecture charme les maux, elle console des malheurs. Christine de Suède « Maximes et pensées » (1682)
(Photo: Bouquiniste, Trieste (Italie)
La lecture charme les maux, elle console des malheurs. Christine de Suède « Maximes et pensées » (1682)
(Photo: Bouquiniste, Trieste (Italie)