La littérature ne bégaie pas l’existence, elle l’invente, elle la provoque, elle la dépasse. Eric-Emmanuel Schmitt « Golden Joe » (1995)
(Photo: Galerie Bortier, 1000 Bruxelles)
La littérature ne bégaie pas l’existence, elle l’invente, elle la provoque, elle la dépasse. Eric-Emmanuel Schmitt « Golden Joe » (1995)
(Photo: Galerie Bortier, 1000 Bruxelles)