Il y a les romans qu’on aime. Il y a ceux qui changent l’idée qu’on se faisait de l’écriture. Jérôme Ferrari, à propos de « Malacarne » de Giosuè Calaciura. (lu sur Twitter)
(Photo: Se m’ami, Restaurant – Librairie, 80, rue de Namur, 1000 Bruxelles)