La lecture, en particulier, de romans, donne du nerf à des vies mornes. On s’encanaille ou on fréquente la haute, on s’alarme, on s’émeut, on se réjouit, on s’énerve, on rit, on pleure, on s’étonne, on approuve, on croit que… et puis non, on espère… Bernard et Cécile Pivot « Lire », Flammarion, p.25
(Photo: La Reduiste, rue de la prairie, 36, 6890 Redu)
Si juste ce pouvoir du lire ! Merci pour ce partage !