Et je compris comment l’on sait un jour, qu’on a fini un livre. Ce n’est pas le mot « fin », que l’on met tout au bout, ce n’est pas un point jeté après un mot. C’est le prodige d’avoir laissé naître en soi des milliers de phrases comme celle-là, qui tiennent toutes seules un jour au milieu du temps. Sophie Fontanel « Nobelle », Robert Laffont, p.220
(Photo: Bouquinerie, Louvain-la-Neuve)
Superbe citation…donne envie de lire la suite! Il m’attend mais d’autres à découvrir avant ….