Au cours de ces journées de juin, elle découvrira le véritable pouvoir de la littérature, l’envoûtement qui lui permettra tant de fois de s’échapper de la réalité, à travers un objet aussi simple et parfait qu’un tas de feuilles reliées et couvertes de mots. Carmen Romero Dorr « Le dernier cadeau de Paulina Hoffmann » , Les Escales, p.121
(Photo: Librairie Nijinski, Bruxelles)