Les livres, disait-il, appartiennent à ceux qui leur donnent vie en les lisant. François Weyergans »La démence du boxeur »
(Photo:Libreria Notebook, Auditorium, Rome)
Les livres, disait-il, appartiennent à ceux qui leur donnent vie en les lisant. François Weyergans »La démence du boxeur »
(Photo:Libreria Notebook, Auditorium, Rome)