Lisez tout haut, écoutez le son, certaines phrases résonnent, s’insinuent, qui n’ont rien d’extraordinaire en apparence, rien en leur syntaxe ne relève de la prouesse ou de la performance, il suffit de les écouter. Delphine de Vigan « Un soir de décembre »
(Photo: Galerie Bortier, Bruxelles)