On écrit à un moment de sa vie et le texte ressemble à ce que l’on est, à ce que l’on a compris ou pas de son propre parcours. C’est le même mécanisme pour le lecteur, il reçoit le livre comme un miroir, parfois il a envie de se fondre dedans ». Eric Genetet « Et n’attendre personne » Éditions Héloïse d’Ormesson, p.141
(Photo : Bouquinerie Thomas, Bruxelles)