đ«đ· … nous partagions la mĂȘme passion pour la lecture. Lire nous Ă©tait aussi naturel que respirer. Au moindre moment libre, il nous fallait nous asseoir seuls dans un coin tranquille et tourner les pages d’un livre. Haruki Murakami « Les amants du Spoutnik »
đźđč … Entrambi amavamo i libri e per noi leggere era naturale come respirare. Appena avevamo un po’ di tempo, trovavamo un posto tranquillo dove sederci e immergerci nella lettura, divorando le pagine. Haruki Murakami libro « La ragazza dello Sputnik »
(Photo: Vieille Bourse, Lille)
AprĂšs cet Ă©pisode de traumatisme vĂ©cu par tous en France, l’envie de lire pour nous les passionnĂ©s va revenir et c’est tout bonđ