Les livres sont toujours là pour nous, ils ne nous laissent jamais tomber. Tatiana de Rosnay « Ma vie de confinée » Le Parisien
(Photo: Galerie Bortier, Bruxelles)
Les livres sont toujours là pour nous, ils ne nous laissent jamais tomber. Tatiana de Rosnay « Ma vie de confinée » Le Parisien
(Photo: Galerie Bortier, Bruxelles)
Ils sont toujours là, c’est tout à fait vrai. Mais lorsqu’on dit qu’il faut avoir l’esprit ouvert et dégagé pour lire, c’est vrai aussi et ce n’est pas donné à tous. Si on croule sous l’inquiétude, sous l’angoisse, sous la précarité, les problèmes de cœur et que sais-je d’autres encore, comment pouvoir s’ouvrir à l’autre, les mots d’un (e) autre … N’oublions jamais ce présupposé …Bon dimanche