Il n’est personne en ce monde qui n’ait dû à la lecture d’un roman favori quelques heures de repos, de récréation, l’oubli momentané des labeurs et des difficultés de la vie. Sans doute je n’irai pas si loin que Diderot, et je ne hasarderai pas de dire avec lui que « le bonheur, c’est un bon fauteuil et un roman qui n’en finit pas. » Victor Cherbuliez « Le roman français »
(Photo : Bouquinerie, Namur)