Alors pourquoi continuait-elle à écrire? Parce qu’elle n’avait pas le choix, parce que les mots constituaient un rempart, une protection. Elle écrivait pour faire entendre sa voix, même frêle, assourdie; elle écrivait pour laisser une trace, même si elle ignorait qui la recueillerait. Elle écrirait. Tatiana de Rosnay « Les fleurs de l’ombre » RobertLaffont/ Héloïse d’Ormesson, p.156
(Photo: Bouquinerie, Bruxelles)
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C’est ma lecture du moment ! 😊