Il y a du plaisir à reprendre ses vieux livres. On renoue avec des amis d’enfance. On y entre comme on suivrait le lapin au pays d’Alice. Emmanuel de Waresquiel « J’ai tant vu le soleil » Gallimard, p.13
(Photo: Bouquinerie, Anvers)
Il y a du plaisir à reprendre ses vieux livres. On renoue avec des amis d’enfance. On y entre comme on suivrait le lapin au pays d’Alice. Emmanuel de Waresquiel « J’ai tant vu le soleil » Gallimard, p.13
(Photo: Bouquinerie, Anvers)