Aux livres que l’on est censé dévorer, je préférerai toujours les livres capables de me dévorer. Jacques Sternberg « Les pensées »
(Photo: Bouquinerie, Paris)
Aux livres que l’on est censé dévorer, je préférerai toujours les livres capables de me dévorer. Jacques Sternberg « Les pensées »
(Photo: Bouquinerie, Paris)