C’est d’ailleurs ce qu’elle attend d’un roman: « qu’il élargisse son champ de vision ». Cité dans la préface de Louis Dubrau* « À la poursuite de Sandra » Éditions Névrosée, Collection Femmes de lettres oubliées, p.9
* Louis Dubrau, de son vrai nom, Louise Scheidt. Née à Bruxelles (1904-1997). Elle choisit d’écrire sous un pseudonyme masculin, parce qu’elle se méfie des jugements subjectifs qu’on porte aux textes écrits par une femme.
(Photo: Bouquinerie, Louvain)