Les mots de tous les jours, ordonnés de cette façon, fabriquaient des phrases d’une beauté si troublante qu’elles les relisait plusieurs fois, elle s’en imprégnait comme on s’asperge de parfum afin qu’il nous accompagne toute la journée en nous magnifiant. Dominique Van Cotthem « Le sang d’une autre » Pocket, p. 94
(Photo: Pêle-mêle, Ixelles)