Elle engloutissait les romans à une vitesse métronomique. Les mondes de papier la rendirent épicurienne. Partout. Tout le temps. Elle lisait comme on respire. Par soif, par nécessité. Le plaisir était là aussi. Elle refermait chaque livre, comme on quitte des amis. Alexandra Koszelyk « À crier dans les ruines » Aux forges de Vulcain, p.147
(Photo : Librairie Nijinski, Bruxelles)