Il consacrait ses heures de liberté à lire Dostoïevski, Camus et Kafka, empruntés à la bibliothèque – la mystérieuse énigme que posaient ces oeuvres le troublait profondément. Amos Oz « Entre amis »
(Photo: Librairie Nijinski, Bruxelles)
Il consacrait ses heures de liberté à lire Dostoïevski, Camus et Kafka, empruntés à la bibliothèque – la mystérieuse énigme que posaient ces oeuvres le troublait profondément. Amos Oz « Entre amis »
(Photo: Librairie Nijinski, Bruxelles)