Si la littérature a le pouvoir d’améliorer les capacités cognitives de celui qui s’y adonne, lui permet de se poser dans une journée bien remplie, de s’évader tout en s’instruisant, elle n’est pour autant qu’une étape dans sa quête du bonheur. Maxence Fermine « La probabilité mathématique du bonheur »
(Photo: Trieste, Italie)