La lecture était pour moi un lieu d’avidité, de faim, de gourmandise. J’absorbais les livres de façon boulimique, comme s’il fallait que je m’en fasse un vêtement, pas seulement un vêtement externe, mais aussi une sorte de coulure interne. Dominique Rolin – Entretien avec Jean-Pierre Salgas
(Photo: Vieille Bourse, Bruxelles)