đ«đ· Elle avait pris l’habitude de laisser la porte entrouverte afin que l’air humide de l’ automne se mĂȘle au parfum des livres. Elle avait toujours pensĂ© que lâair automnal et les livres allaient bien ensemble, que les uns comme les autres se mariaient bien avec des plaids, des fauteuils confortables et de grandes tasses de cafĂ© et de thĂ©. Katarina Bivald « La BibliothĂšque des cĆurs cabossĂ©s »
đźđč Aveva preso l’abitudine di lasciare socchiusa la porta in modo che l’odore dell’umida aria autunnale si mescolasse al profumo dei libri. Aveva sempre pensato che quelle due fragranze si sposassero bene, che i libri e l’aria autunnale avessero in comune le coperte, le poltrone comode e grandi tazze di caffĂš o tĂš. Katarina Bivald « La lettrice che partĂŹ inseguendo un lieto fine »
(Photo: Bouquinerie, Saint-Sauveur-en-Puisaye)