C’est une des choses merveilleuses que nous apprend la littérature: on peut toujours se mettre à la place de l’autre. Leïla Slimani in « Femmes puissantes » de Léa Salamé, Les Arènes, p.43
(Photo: Bouquinerie, Bruxelles)
C’est une des choses merveilleuses que nous apprend la littérature: on peut toujours se mettre à la place de l’autre. Leïla Slimani in « Femmes puissantes » de Léa Salamé, Les Arènes, p.43
(Photo: Bouquinerie, Bruxelles)