Le lecteur – je veux dire le vrai lecteur – est presque toujours un ami. Il est allé choisir le livre, il l’a emporté sous son bras, il l’a invité chez lui. Il va le lire en silence, installé dans le coin qu’il aime, entouré de son décor familier. Marcel Pagnol « La gloire de mon père »
(Photo: The Abbey Bookshop, Paris)