… je ne pense pas qu’il y ait une frontière entre la réalité et la fiction. Le roman surtout nous entraîne sur des territoires flous, il occupe les lisières. Carole Martinez « Les roses fauves » Gallimard, p.97-98
(Photo: Bouquinerie, Anvers)
… je ne pense pas qu’il y ait une frontière entre la réalité et la fiction. Le roman surtout nous entraîne sur des territoires flous, il occupe les lisières. Carole Martinez « Les roses fauves » Gallimard, p.97-98
(Photo: Bouquinerie, Anvers)