La littérature aime une voix qui ne sonne plus dans l’espace mais qui s’entend au fond de l’âme. Une voix qui monte de l’invisible. Pascal Quignard « L’homme aux trois lettres », Grasset, p.41
(Photo: Bouquinerie, Bruxelles)
La littérature aime une voix qui ne sonne plus dans l’espace mais qui s’entend au fond de l’âme. Une voix qui monte de l’invisible. Pascal Quignard « L’homme aux trois lettres », Grasset, p.41
(Photo: Bouquinerie, Bruxelles)