Lorsque j’entreprends un roman, c’est pour courir là où je ne suis pas, pour aller voir ce qui se passe chez les autres, pour me quitter, pour me réincarner. Romain Gary « La nuit sera calme »
(Photo: Librairie Papyrus, Namur)
Lorsque j’entreprends un roman, c’est pour courir là où je ne suis pas, pour aller voir ce qui se passe chez les autres, pour me quitter, pour me réincarner. Romain Gary « La nuit sera calme »
(Photo: Librairie Papyrus, Namur)