… défendre ce que j’aime: les histoires dont nous avons besoin pour vivre, comme nous avons besoin d’eau, la littérature qui n’est ni véhicule idéologique, ni forme pure, mais autre chose: la beauté mystérieuse des scènes, des phrases, des personnages qui nous laissent silencieux et nourris. Les émotions de pensée. La littérature qui ne sert à rien qu’à cela. Geneviève Brisac « Sisyphe est une femme » Éditions de l’olivier, p.21
(Photo: Tulibris, Bruxelles)