Lire, ce n’est donc pas seulement marcher sur les traces de la différence produite par un livre, c’est aussi, d’une certaine façon marcher dans la forêt entière où ces traces ont déjà été suivies ou le seront. Dans cette forêt, chacun est seul, mais chacun, s’il le veut, peut aussi entendre d’autres pas que le sien. Jean-Christophe Bailly « Panoramiques »
(Photo: Librairie Nijinski, Bruxelles)