Les livres qu’il lui apportait, les belles choses qu’il lui montrait, ses conversations étaient pour elle la révélation d’une vie spirituelle plus noble et élevée que sa vie de tous les jours, où elle se traînait médiocrement, comme enfermée dans une ouate de brouillard gris. Maria Messina « La maison dans l’impasse » Éditions Cambourakis, p.114
(Photo: Cook and Book, Bruxelles)