Parfois, au détour d’un texte, j’ai l’impression que l’auteur m’invite à entrer chez lui. Ravie, un peu intimidée, je m’installe dans son fauteuil préféré, consciente du privilège qui m’est offert de pénétrer ainsi dans l’intimité de l’écrivain. J’ai le sentiment de capter quelque chose de sa « vérité ». Clémentine Mélois « Dehors, la tempête » Grasset, p.76
(Photo: Pêle-Mêle, Bruxelles)