Quand il employait ainsi toutes ses forces dans une lecture, il perdait en quelque sorte la conscience de sa vie physique, et n’existait plus que par le jeu tout-puissant de ses organes intérieurs dont la portée s’était démesurément étendue : il laissait, suivant son expression, « l’espace derrière lui ». Honoré de Balzac « Louis Lambert », Folio, p.32
(Photo: Vieille Bourse, Lille)