Derrière des rideaux tirés, à la lumière d’une lampe, il fait bon lire. Sur une chaise longue à la plage, avec le murmure des vagues qui frappent le rivage, il fait bon lire. Au lit, il fait bon lire, jusqu’à ce que la main emportée par le sommeil fléchisse et que le livre lui échappe. Sibylle Lewitscharoff in « Pourquoi lire » Premier Parallèle, p.119
(Photo: Cook and Book, Bruxelles)